J'ai relu une à une nos lignes, émue par l'impact des mots (maux). J'ai bien cherché en vain un signe, un truc qui pouvait se vérifier au delà des mots (maux). Tes mots, tes dires étaient trop décalés avec ma réalité. Nous avons voyagé dans nos fragiles, et j'en ai perdu la voix (voie), la mise à nu fut difficile, il y avait trop de manque de toi.
Pour nos faiblesses, et nos défaillances sentimentales je me suis abimée. A tout analyser, je me suis oubliée. En affrontement mental, je me suis épuisée.
J'ai repassé le film maintes fois, visionné les séquences jusqu'à l'ultime, bien trop d'interférence et de parasites, l'image est devenue saccadée et tout s'est brouillé.
J'ai voyagé dans l'immobile, funambuline sur tes maux, le souffle court, si peu habile avec mes illusions futiles.
A marcher dans ton ombre, je me suis égarée, et les chimères se sont envolées. Tout est devenu très sombre en ce jour de décembre.
Je t'ai demandé de t'en aller, alors que je t'aimais.
Pour nos faiblesses, et nos défaillances sentimentales je me suis abimée. A tout analyser, je me suis oubliée. En affrontement mental, je me suis épuisée.
J'ai repassé le film maintes fois, visionné les séquences jusqu'à l'ultime, bien trop d'interférence et de parasites, l'image est devenue saccadée et tout s'est brouillé.
J'ai voyagé dans l'immobile, funambuline sur tes maux, le souffle court, si peu habile avec mes illusions futiles.
A marcher dans ton ombre, je me suis égarée, et les chimères se sont envolées. Tout est devenu très sombre en ce jour de décembre.
Je t'ai demandé de t'en aller, alors que je t'aimais.
Ce qui est dit est dit et au final on ne regrette que ce que l'on à gardé pour soi.
RépondreSupprimerMerci
La tête, le cœur, la peau, les tripes... ont chacun leur mots (maux) et ne les mettent pas toujours sur le même diapason. Il faut souvent composer.
RépondreSupprimerToutaubord...je pense même que j'en ai trop dit et l'ai "noyé" sous le flux.. pourtant il en allait de ma survie au quotidien.. cercle vicieux (ou ronds dans l'eau, c'est plus joli)
RépondreSupprimermerci de ta visite sur mon nouveau blog, loin de tout, de tous..
≈≈≈... j'ai fait une piètre chef d'orchestre.. mais où etait donc passé mon métronome ?...
Il doit être bien difficile de demander à un amour de partir, je ne sais pas si je trouverais les mots pour ma part.
RépondreSupprimerJe découvre...je reviendrai!
Mots d'Elle--> oh, quitter quand j'aime, c'est ma spécialité.. mon seuil de tolérance reste pourtant très élastique, mais voilà.. des fois j'anticipe avant le point de non retour.. et en général, je garde le meilleurs..
RépondreSupprimerBen oui, c'est comme ça.
RépondreSupprimerSnake--> Je suis trop contente de vous voir par ici !! :)
RépondreSupprimerQuitter quand on aime... Anticiper comme on hypothèque... Rester anéanti ou se découvrir délivré... L' amour n' est plus que chose vaine, à éviter définitivement...
RépondreSupprimerBisOus bleus d' un soir aux pensées sombres... Tomorrow is another day...
RépondreSupprimerHervé--> je te remercie d'être là...
RépondreSupprimerCes mots datent d'un mois, je suis beaucoup plus guillerette depuis..
Je pense que tu arrives là par le lien sur commedia... Mais la manip a tout chamboulé l'ordre des billets..
A bientôt Mr H . BISES