vendredi 31 juillet 2009

Au milieu de l'été

Ce matin, j'ouvre en grand les baies vitrées. Le chant de toutes les bestioles là dehors, envahit la maison. Les enfants dorment encore. L'air est frais, mais ne tardera pas à monter en température. 36° hier aprem, à l'ombre...
Ce matin, je me recentre. C'est mon dernier jour de vacances. Je n'ai bien sûr, pas fait tout ce que je devais faire. J'ai papillonné largement. Butiné à qui mieux mieux, pourvu que je remplisse le temps, l'espace et les méandres de mon cerveau de jolies choses.
En clair, je n'ai pas eu un instant pour me pencher sur les chagrineries, ou si peu. J'ai pris, j'ai donné. Il me fallait avancer. Je me suis levée du bon pied.
Ma soeur m'a dit ce we, que je donnais l'impression d'avoir 25 ans ! Sourire. Ce n'est qu'une impression, peut être l'éclat de mes yeux, et le sourire qui reste accroché, ça le fait !
Comme quoi... en deux temps, trois mouvements, les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Un jour on a la tête en travaux, le lendemain on resplendit parce que quelque chose ou quelqu'un nous rend belle et lumineuse... La life !
Aujourd'hui, je disais, je me recentre. Je ne vais pas faire la cigale tout l'été ! Je reprends mes marques. Je vais passer l'aspirateur, et garder la lumière.
Demain, j'attaque mon avant dernier stage, les Urgences, ça me plaît. J'aime travailler dans l'urgence, c'est stimulant. J'ai hâte de terminer mes études ! J'ai hâte de pouvoir signer de ma belle écriture en bas des pages, mon nom, mon grade.
Je vous souhaite un bel été !
A tout vite !

lundi 20 juillet 2009

Le coup de fil qui plombe !

Suite de Quand Colombine fait un caprice En fait rien ne s'est passé comme je l'avais prévu. Forcément, quand on marche sur des œufs, même sur la pointe des pieds... On prend des risques. J'avais envisagé la possibilité qu'il ne réponde pas, mais au fond de moi, je savais qu'il le ferait. Par contre je n'avais pas prévu qu'il m'appelle pour me dire "non, ce n'est pas possible" quel cran! ça m'a totalement démunie. j'avais envisagé qu'il réponde non, par un texto, par un mail, ce qui m'aurait permis d'exprimer mes ressentis, m'aurait donné un certain recul. J'avais aussi envisagé que l'idée le séduise, et là , oui, tous les moyens de me le communiquer avaient été envisagés.
Mais voilà, il m'a appelée. Je me suis retrouvée à garder tête haute alors que régnait en moi la plus troublante des confusions. J'ai écouté avec une fausse assurance. Je l'ai senti troublé aussi. Que faire, que dire dans pareille situation? Il m'a exprimé son refus d'élégante manière. Il a eu la délicatesse de me préserver, de mettre en avant ma spontanéité, le côté espiègle de la situation, le côté touchant pour lui qui ne s'y attendait pas. Il s'est senti flatté, je le crois volontiers. Il m'a aussi confirmé que je n'avais pas rêvé, "je lui plais", je le trouble. Hum, la belle affaire.. Ce que j'ai ressenti l'interpelle, car il ne pensait pas être aussi "transparent"... Bon tout ça c'est bien beau, mais pour moi, j'avais tout à gérer en même temps; mes émotions, ma douce déception, l'affront en direct aussi... Je n'ai eu de cesse de récupérer "ma barque qui coulait à pic". Ben oui, mince, ce n'était pas facile ! Du coup, j'ai un peu refusé tout en bloc; "l'éventuelle rencontre pour en parler" "la pseudo amitié une fois prochaine". Je l'ai laissé là, un peu en plan, pourvu que je reprenne ma respiration :).
Pour autant, je n'ai pas pu exprimer mes ressentis, et là, frustration !
Alors j'ai trouvé un autre moyen de les exprimer... Quand une Colombine a une idée en tête, elle ne lâche pas l'affaire comme ça... Certes, c'est une histoire sans suite, mais il fallait qu'elle ait du sens, au moins pour moi.. Alors j'ai écrit, j'ai romancé, j'invente au fur et à mesure de ce que je ressens.
Un accord tacite entre lui et moi, j'écris, il lit... Dans un endroit pour lui et moi. On se retrouve sur mes pages d'écriture, le seul lien: un clic... je n'interagis pas, il a le choix de ne pas y aller... Il répond parfois, il revient lire toujours... Sourire...

mardi 14 juillet 2009

Vais je y aller ?

je me suis baladée sous la pluie, une belle pluie d'été qui mouille. Le tissus de ma robe plaqué à ma peau, laisse deviner mes courbes et mes pleins. je t'ai suivi entre les eaux, il parait qu'il y a un endroit où l'on peut te rejoindre... je me suis dis, vais je y aller dans cett'tenue ? Oui, ce soir, j'ai envie. Je dérive lentement vers le rebord du monde, ton épaule m'attire, ton épaule m'attend. Je veux la rencontre sans rendez vous. J'imagine ce soir, je glisse mes mains sur la peau nue, je sens les odeurs d'herbe et de terre mouillée, je sens les odeurs des corps enlacés. un brin d'herbe reste accroché dans mes cheveux, ben oui, j'y suis allée...

mercredi 1 juillet 2009

Grrrr..... !

Grrrr... Lignes internet et téléphone coupées pendant 3 semaines ! Super pratique pour terminer mon TFE ! J'ai trop les boules !! Va me falloir squatter à droite à gauche pour terminer mon mémoire ! Quelle tuile !
Bien, ben Je vous souhaite bonnes vacances, et bon vent !

Bises

Colombine !